Comme les 88 touches du Grand Piano qui se sont agitées au fils des bals et autres soirées mondaines. La légende veut qu’après une tournée dans tout l’Est de l’Europe, le Grand Pianiste Franz Liszt était passé par Boursault pour se reposer avant de monter à la capitale. Pour remercier son prestigieux hôte, il joua quelques-unes de ces célèbres partitions et fit danser toutes les touches d’un piano aujourd’hui détruit.