Comme les 188 lettres que Madame Boissa, une servante de la Veuve Clicquot n’a jamais pu remettre à son destinataire. Lors du décès de son mari, la dame de chambre de la Veuve était effondrée. Elle commença alors à écrire des centaines de lettres qui lui étaient destinées. Elle continua ce rituel pendant de longues années, pour entretenir tout l’amour qu’elle lui portait.