Comme les 173 chats qui, tour à tour, réclamaient à manger aux portes du Château. L’histoire commença le jour où Victoire, la bonne de la maison, nourrit un petit chat roux à la porte de Boursault. Cette dernière s’en mordit les doigts lorsqu’elle se sentit, de par son grand cœur, obligée de nourrir les 171 autres chats qui suivirent, comme s’ils s’étaient passés le mot.