Comme les 106 pas qui séparaient le perron de Boursault du trésor d’Anne de Mortemart. Enfant, Anne collectionnait des petits objets en tout genre qu’elle rangeait soigneusement dans une boîte en bois précieux. Comme tout bon trésor, le sien, d’une grande valeur affective, méritait d’être enterré. C’est ainsi qu’elle compta 106 pas depuis le perron du Château, pour ensevelir son bien le plus précieux. Quelques mois plus tard, chargée de nouvelles richesses, elle regretta son geste, et voulu déterrer son trésor. Mais jamais elle ne pu retrouver l’emplacement exact, et à ce jour les vestiges de la jeunesse d’Anne de Mortemart restent encore enfouis dans le parc du Château.